Des jeunes au service de la Terre Sainte
« Je m’appelle Giuseppe, j’ai 27 ans, et je viens de Bari »
« Je suis Nando, je viens de Molise, et j’ai étudié à Florence »
« Je suis Davide, et je viens d’un village de la province de Côme »
« Je m’appelle Alessandro, je viens de Brescia, et j’ai 25 ans »
Giuseppe, Fernando, Davide et Alessandro : ce sont eux les jeunes étudiants arrivés en Terre sainte en mars dernier, pour accomplir un service civil, en lien avec l’Université de Bari. C’est déjà la deuxième année que l’Université apulienne choisit d’offrir cette opportunité à de jeunes diplômés : celle de consacrer une année de leur vie à un service de volontariat de grande valeur éducative.
Les tâches assignées par la Custodie, qui les a accueillis, sont des plus variées :
« Je suis en train de m’occuper du catalogage de l’étude préliminaire des lampes à huile de l’époque byzantine »
« J’ai été affecté au bureau technique de la Custodie, et j’ai commencé à m’occuper du catalogage de tous les biens artistiques et architecturaux qui appartiennent à la custodie »
« Moi je dois ficher toutes les éditions antiques du 4e, 5e, 6e et 7e siècles »
« Avec un autre étudiant, nous nous occupons de cataloguer le matériel archéologique du musée »
Il y a également le fait d’être à Jérusalem, qui rend tout le travail plus riche et passionnant. Le service civil, qu’on peut accomplir dans le milieu de l’activité culturelle et de préservation du patrimoine artistique de la Custodie de Terre sainte, aide à conserver l’immense travail (ou grandeur ? prestige ?) des Franciscains de Terre sainte. Mais donne également la possibilité, pas accordée à tous, d’être en contact avec les Lieux mêmes du Christ.
« Je n’aurais jamais pensé pouvoir être ici un jour, travailler au cœur des Lieux saints, de manière quotidienne, passer devant ces Lieux, et les fréquenter, comme si j’étais chez moi ».
« C’est la possibilité de vivre une expérience unique, tant au niveau professionnel qu’humain ».
« D’unir à un engagement civil, un fort vécu religieux »
« Ensuite il y a un tout autre aspect humain, qui est unique, parce que la possibilité de travailler ici, à Jérusalem, est permise à peu de personnes ».
Il suffit de regarder leurs visages pour comprendre toute la richesse qu’une telle opportunité peut offrir : certes, une expérience qui enrichit son bagage de connaissances, mais qui apporte aussi et surtout des souvenirs, qu’aucun curriculum vitae ne pourra jamais contenir.
« La première chose que je raconterais, ce serait le coucher de soleil avec la Coupole du Saint Sépulcre »
« Toutes les personnes que j’ai connues, pendant ces 6 mois, qui donnent une valeur ajoutée à cette expérience vécue ici, à Jérusalem ».
« Les mains que j’ai serrées, toutes les personnes que j’ai pu toucher et connaître »
« Le sourire des personnes »
« Je m’appelle Giuseppe, j’ai 27 ans, et je viens de Bari »
« Je suis Nando, je viens de Molise, et j’ai étudié à Florence »
« Je suis Davide, et je viens d’un village de la province de Côme »
« Je m’appelle Alessandro, je viens de Brescia, et j’ai 25 ans »
Giuseppe, Fernando, Davide et Alessandro : ce sont eux les jeunes étudiants arrivés en Terre sainte en mars dernier, pour accomplir un service civil, en lien avec l’Université de Bari. C’est déjà la deuxième année que l’Université apulienne choisit d’offrir cette opportunité à de jeunes diplômés : celle de consacrer une année de leur vie à un service de volontariat de grande valeur éducative.
Les tâches assignées par la Custodie, qui les a accueillis, sont des plus variées :
« Je suis en train de m’occuper du catalogage de l’étude préliminaire des lampes à huile de l’époque byzantine »
« J’ai été affecté au bureau technique de la Custodie, et j’ai commencé à m’occuper du catalogage de tous les biens artistiques et architecturaux qui appartiennent à la custodie »
« Moi je dois ficher toutes les éditions antiques du 4e, 5e, 6e et 7e siècles »
« Avec un autre étudiant, nous nous occupons de cataloguer le matériel archéologique du musée »
Il y a également le fait d’être à Jérusalem, qui rend tout le travail plus riche et passionnant. Le service civil, qu’on peut accomplir dans le milieu de l’activité culturelle et de préservation du patrimoine artistique de la Custodie de Terre sainte, aide à conserver l’immense travail (ou grandeur ? prestige ?) des Franciscains de Terre sainte. Mais donne également la possibilité, pas accordée à tous, d’être en contact avec les Lieux mêmes du Christ.
« Je n’aurais jamais pensé pouvoir être ici un jour, travailler au cœur des Lieux saints, de manière quotidienne, passer devant ces Lieux, et les fréquenter, comme si j’étais chez moi ».
« C’est la possibilité de vivre une expérience unique, tant au niveau professionnel qu’humain ».
« D’unir à un engagement civil, un fort vécu religieux »
« Ensuite il y a un tout autre aspect humain, qui est unique, parce que la possibilité de travailler ici, à Jérusalem, est permise à peu de personnes ».
Il suffit de regarder leurs visages pour comprendre toute la richesse qu’une telle opportunité peut offrir : certes, une expérience qui enrichit son bagage de connaissances, mais qui apporte aussi et surtout des souvenirs, qu’aucun curriculum vitae ne pourra jamais contenir.
« La première chose que je raconterais, ce serait le coucher de soleil avec la Coupole du Saint Sépulcre »
« Toutes les personnes que j’ai connues, pendant ces 6 mois, qui donnent une valeur ajoutée à cette expérience vécue ici, à Jérusalem ».
« Les mains que j’ai serrées, toutes les personnes que j’ai pu toucher et connaître »
« Le sourire des personnes »