Le Ministère palestinien de la Culture a convoqué les Écoles de Musique de ses territoires pour une rencontre inhabituelle. L’Ambassadeur de Chine, par délégation de son gouvernement, aurait remis aux Écoles de Musique de Ramallah, Naplouse, Tulkarem, Jérusalem, Bethléem et aussi à l’Institut "Magnificat" un total de 120 instruments de musique.
La Chine a choisi de soutenir le progrès culturel des Palestiniens et en particulier l’étude de la musique, ainsi a dit l’Ambassadeur.
Le Ministre palestinien de la Culture a remercié vivement l’Ambassadeur. Les Palestiniens, a-t’il dit, sont très ouverts à la musique. En est la preuve le grand nombre des Instituts de musique qui sont nés depuis dix ans.
Il n’est pas juste qu’un garçon qui aime jouer d’un instrument de musique, ou chanter ou danser ne puisse pas développer son talent ou qu’il soit considéré comme un mécréant, comme s’il faisait quelque chose opposé à Dieu.
Nous, Palestiniens, sommes ouverts à la musique, a-t’il ajouté, et nous sommes prêts à changer notre "nay" (une longue flutte de bois) contre la flutte normale des orchestres. Nous voulons que personne ne s’enferme dans une prison géographique ou culturelle. Nous sommes prêts à accompagner nos jeunes jusqu’à la qualité académique de leurs études musicales. Pour l’institut "Magnificat" étaient présent le frère Armando Pierucci ofm, et la directrice Hania Soudah Sabbara.
Il leur a été remis deux fluttes et un violoncelle.
Ils ont exprimé leur plus vive gratitude à l’Ambassadeur de Chine et à son Gouvernement et aussi au Ministre palestinien de la Culture.
AP
La Chine a choisi de soutenir le progrès culturel des Palestiniens et en particulier l’étude de la musique, ainsi a dit l’Ambassadeur.
Le Ministre palestinien de la Culture a remercié vivement l’Ambassadeur. Les Palestiniens, a-t’il dit, sont très ouverts à la musique. En est la preuve le grand nombre des Instituts de musique qui sont nés depuis dix ans.
Il n’est pas juste qu’un garçon qui aime jouer d’un instrument de musique, ou chanter ou danser ne puisse pas développer son talent ou qu’il soit considéré comme un mécréant, comme s’il faisait quelque chose opposé à Dieu.
Nous, Palestiniens, sommes ouverts à la musique, a-t’il ajouté, et nous sommes prêts à changer notre "nay" (une longue flutte de bois) contre la flutte normale des orchestres. Nous voulons que personne ne s’enferme dans une prison géographique ou culturelle. Nous sommes prêts à accompagner nos jeunes jusqu’à la qualité académique de leurs études musicales. Pour l’institut "Magnificat" étaient présent le frère Armando Pierucci ofm, et la directrice Hania Soudah Sabbara.
Il leur a été remis deux fluttes et un violoncelle.
Ils ont exprimé leur plus vive gratitude à l’Ambassadeur de Chine et à son Gouvernement et aussi au Ministre palestinien de la Culture.
AP