Etre chrétiens au Moyen-Orient est une vocation et non un privilège. Parmi les juifs et les musulmans, ils sont appelés à professer que Jésus de Nazareth est le Messie et le Fils de Dieu, mort et ressuscité pour le salut de tous les hommes. La béatitude du Maître: « Heureux les persécutés pour la justice, car le Royaume des Cieux est à eux » n’est pas restée vaine. Etre le sel de la terre et le levain dans la pâte demande d’être présent dans la société avec son identité propre. Une minorité peut malgré toutes les difficultés, être créative.
Etre chrétiens au Moyen-Orient signifie croire en un Dieu-Trinité. Dieu Père aime son Fils, le Fils est aimé par le Père et l’Esprit est l’Amour. Dans l’Amour se trouve la solution à la haine et à la guerre. La réconciliation basée sur le pardon demeure la clef de la paix.
Etre chrétiens au Moyen-Orient signifie être témoins de l’espérance future. Jésus reviendra pour juger les vivants et les morts. Tous seront jugés sur l’amour qu’ils auront eu envers les autres. « les artisans de paix, car ils seront appelés fils de Dieu ».
Etre chrétiens au Moyen-Orient signifie croire en l’Eglise, une sainte et catholique, œuvre de l’Esprit de Dieu. Cette Eglise s’est inculturée dans le monde sémitique en Ethiopie, en Afrique du Nord, en Israël, en Asie mineure et dans tout l’Orient avant que de s’inculturer dans le monde hellénistique. Elle parle différentes langues. Ce pluralisme ne signifie pas division, mais recherche dynamique de l’unité pour arriver à un seul cœur et une seule âme. La vérité est symphonique.
Etre chrétiens au Moyen-Orient signifie reconnaître les racines du christianisme dans l’Ancien Testament et dans le judaïsme. Le peuple juif, qui a reçu la révélation en premier, nous a donné les Ecritures que nous lisons en clef christologique et spirituelle. Il nous a donné Jésus, notre Sauveur né de Marie. Pour cela, nous lui sommes reconnaissant.
Etre chrétiens au Moyen-Orient signifie chercher l’image de Dieu en tout homme, en particulier dans la figure des musulmans au milieu desquels de nombreuses communautés vivent. Au musulman, le chrétien, qui n’est pas un citoyen de seconde zone, demande le respect des droits de l’homme, la liberté de culte et de conscience. Il demande la réciprocité : comme les musulmans en Europe prétendent voir leurs droits respectés, de même ils doivent concéder ces mêmes droits aux chrétiens en Orient.
Les Eglises orientales ont un patrimoine merveilleux : de saints Pères et Docteurs ont illuminé ces communautés et l’Eglise entière. Nombre de martyrs ont témoigné leur foi au Christ. Leur liturgies sont une participation à la Jérusalem céleste. Ceux qui ont préféré l’émigration peuvent partager cette richesse avec leurs frères occidentaux.
Le monde globalisé lance de nouveaux défis aux chrétiens d’Occident et d’Orient. Le monde nouveau, qui naît avec Internet, la bioéthique et la recherche spatiale, exige une nouvelle évangélisation qui n’a pas besoin d’orateurs mais de témoins authentiques. Une catéchèse des adultes appropriée qui soit également unifiée pour l’ensemble des communautés permettra d’affronter les faux dieux qui nous propose le monde moderne. Les chrétiens sont comme David face à Goliath. David prit un bâton et cinq pierres, symboles de la Croix et des cinq livres de la Bible, déclare Hypolite de Rome. Le fronde qui permet de lancer les pierres est la charité.
L’Eglise a toujours respiré avec ses deux poumons : l’Occident et l’Orient qui sont appelés à collaborer plus étroitement en cas de nécessité afin de permettre au corps du Christ d’offrir au monde le salut. Les Eglises catholiques voient dans les immigrés qui sont venus en Orient pour y chercher du travail, des frères en tout et pour tout.
Jérusalem est la mère de tous les peuples. Là tous sont nés. Le Seigneur a demandé à ses disciples de demeurer dans la ville. Afin que celle-ci puisse réaliser sa mission de « visio pacis », les chrétiens du monde entier sont invités à reprendre la tradition des pèlerinages sur les pas de leur maître. Il faut en dire autant des pèlerinages en Egypte, en Syrie, au Liban, en Jordanie et en Asie mineure qui permettront de rencontrer les pierres vivantes que sont les communautés locales et d’établir de nouvelles formes de connaissance et de collaboration.
Les Eglises catholiques d’Orient reconnaissent le charisme de Pierre qui est d’être signe et instrument d’unité dans l’exercice du primat dans la charité. Dans leurs institutions précaires, elles recourent au successeur de Pierre pour renforcer l’unité. Les Eglises catholiques reconnaissent également à l’Apôtre Jean un charisme très proche de leur cœur. Ils font leur la prière pour l’unité des disciples de Jésus qu’il a transmis.
La Mère de Jésus qui est la Fille de Sion et l’Etoile de l’Orient était présente au Cénacle avec les Apôtres, les femmes et les frères de Jésus. C’est Elle qui donne à toutes les femmes d’Orient la force et le courage qu’Elle a manifesté sous la Croix de son Fils. C’est Elle la Reine de l’Espérance de tout homme qui souffre et la Mère de la Nouvelle Evangélisation.
Etre chrétiens au Moyen-Orient signifie croire en un Dieu-Trinité. Dieu Père aime son Fils, le Fils est aimé par le Père et l’Esprit est l’Amour. Dans l’Amour se trouve la solution à la haine et à la guerre. La réconciliation basée sur le pardon demeure la clef de la paix.
Etre chrétiens au Moyen-Orient signifie être témoins de l’espérance future. Jésus reviendra pour juger les vivants et les morts. Tous seront jugés sur l’amour qu’ils auront eu envers les autres. « les artisans de paix, car ils seront appelés fils de Dieu ».
Etre chrétiens au Moyen-Orient signifie croire en l’Eglise, une sainte et catholique, œuvre de l’Esprit de Dieu. Cette Eglise s’est inculturée dans le monde sémitique en Ethiopie, en Afrique du Nord, en Israël, en Asie mineure et dans tout l’Orient avant que de s’inculturer dans le monde hellénistique. Elle parle différentes langues. Ce pluralisme ne signifie pas division, mais recherche dynamique de l’unité pour arriver à un seul cœur et une seule âme. La vérité est symphonique.
Etre chrétiens au Moyen-Orient signifie reconnaître les racines du christianisme dans l’Ancien Testament et dans le judaïsme. Le peuple juif, qui a reçu la révélation en premier, nous a donné les Ecritures que nous lisons en clef christologique et spirituelle. Il nous a donné Jésus, notre Sauveur né de Marie. Pour cela, nous lui sommes reconnaissant.
Etre chrétiens au Moyen-Orient signifie chercher l’image de Dieu en tout homme, en particulier dans la figure des musulmans au milieu desquels de nombreuses communautés vivent. Au musulman, le chrétien, qui n’est pas un citoyen de seconde zone, demande le respect des droits de l’homme, la liberté de culte et de conscience. Il demande la réciprocité : comme les musulmans en Europe prétendent voir leurs droits respectés, de même ils doivent concéder ces mêmes droits aux chrétiens en Orient.
Les Eglises orientales ont un patrimoine merveilleux : de saints Pères et Docteurs ont illuminé ces communautés et l’Eglise entière. Nombre de martyrs ont témoigné leur foi au Christ. Leur liturgies sont une participation à la Jérusalem céleste. Ceux qui ont préféré l’émigration peuvent partager cette richesse avec leurs frères occidentaux.
Le monde globalisé lance de nouveaux défis aux chrétiens d’Occident et d’Orient. Le monde nouveau, qui naît avec Internet, la bioéthique et la recherche spatiale, exige une nouvelle évangélisation qui n’a pas besoin d’orateurs mais de témoins authentiques. Une catéchèse des adultes appropriée qui soit également unifiée pour l’ensemble des communautés permettra d’affronter les faux dieux qui nous propose le monde moderne. Les chrétiens sont comme David face à Goliath. David prit un bâton et cinq pierres, symboles de la Croix et des cinq livres de la Bible, déclare Hypolite de Rome. Le fronde qui permet de lancer les pierres est la charité.
L’Eglise a toujours respiré avec ses deux poumons : l’Occident et l’Orient qui sont appelés à collaborer plus étroitement en cas de nécessité afin de permettre au corps du Christ d’offrir au monde le salut. Les Eglises catholiques voient dans les immigrés qui sont venus en Orient pour y chercher du travail, des frères en tout et pour tout.
Jérusalem est la mère de tous les peuples. Là tous sont nés. Le Seigneur a demandé à ses disciples de demeurer dans la ville. Afin que celle-ci puisse réaliser sa mission de « visio pacis », les chrétiens du monde entier sont invités à reprendre la tradition des pèlerinages sur les pas de leur maître. Il faut en dire autant des pèlerinages en Egypte, en Syrie, au Liban, en Jordanie et en Asie mineure qui permettront de rencontrer les pierres vivantes que sont les communautés locales et d’établir de nouvelles formes de connaissance et de collaboration.
Les Eglises catholiques d’Orient reconnaissent le charisme de Pierre qui est d’être signe et instrument d’unité dans l’exercice du primat dans la charité. Dans leurs institutions précaires, elles recourent au successeur de Pierre pour renforcer l’unité. Les Eglises catholiques reconnaissent également à l’Apôtre Jean un charisme très proche de leur cœur. Ils font leur la prière pour l’unité des disciples de Jésus qu’il a transmis.
La Mère de Jésus qui est la Fille de Sion et l’Etoile de l’Orient était présente au Cénacle avec les Apôtres, les femmes et les frères de Jésus. C’est Elle qui donne à toutes les femmes d’Orient la force et le courage qu’Elle a manifesté sous la Croix de son Fils. C’est Elle la Reine de l’Espérance de tout homme qui souffre et la Mère de la Nouvelle Evangélisation.