Depuis neuf ans l’Institut Magnificat de Jérusalem organise “La Lampe Magique”, version arabe du concours « Zecchino d’Oro » (le sequin d’or du nom d’une pièce qui avait cours dans le Levant et en Italie), dont l’école de musique de la Custodie de Terre Sainte gère tous les aspects : de la composition des chants, confiée aux maîtres et aux amis du Magnificat, jusqu’à l’exécution en direct du concert. La publication des partitions, harmonisée par le P. Armando Pierucci, vient rejoint la nécessité de constituer un répertoire pour enfants à divulguer dans les écoles arabes.
Les spectateurs, qui vendredi 22 mars ont envahi l’Auditorium de Saint-Sauveur à Jérusalem, ont apprécié les vêtements palestiniens traditionnels, très bariolés, portés par les enfants, mais surtout la fraicheur des chants, exécutés par le Yasmeen Buds Choir, le chœur des plus petits élèves du Magnificat, dirigé par Miriam Younan, avec l’accompagnement du Magnificat Spring Orchestra, dirigée par Robert Canetti, avec la participation des maîtres Bella Pogosov, Fabienne Van Eck et Evgeni Ratner. Même les jeunes chanteur solistes ont eu du succès. Le directeur artistique de la Lampe Magique est le maître Hani Kreitem, qui a également joué le piano.
Les chansons ont été mimées par des scénettes préparées par les autres écoles de Jérusalem comme l’écolde de Terre Sainte, l’école Saint- Joseph et la l’école des sœurs du Pilàr. Les thèmes se sont inspirés de la vie des enfants : la maman, les jeux, l’école, la nature, la sécurité routière et la paix, un argument particulièrement sensible ici.
Chaque année, le concours révèle quelques nouveautés: en plus de l’orchestre qui s’enrichit de nouveaux membres et de nouveaux instruments, cette édition a vu, pour la première fois, la participation d’un présentateur officiel, la fameuse journaliste Eman Al Kassem Sulemain.
Pour la troisième année consécutive, le spectacle de la Lampe Magique a été rendu possible grâce au soutien de la Coopération Italienne, par l’intermédiaire de l’organisation non gouvernementale AVSI.
[Link à la video en italien]
Les spectateurs, qui vendredi 22 mars ont envahi l’Auditorium de Saint-Sauveur à Jérusalem, ont apprécié les vêtements palestiniens traditionnels, très bariolés, portés par les enfants, mais surtout la fraicheur des chants, exécutés par le Yasmeen Buds Choir, le chœur des plus petits élèves du Magnificat, dirigé par Miriam Younan, avec l’accompagnement du Magnificat Spring Orchestra, dirigée par Robert Canetti, avec la participation des maîtres Bella Pogosov, Fabienne Van Eck et Evgeni Ratner. Même les jeunes chanteur solistes ont eu du succès. Le directeur artistique de la Lampe Magique est le maître Hani Kreitem, qui a également joué le piano.
Les chansons ont été mimées par des scénettes préparées par les autres écoles de Jérusalem comme l’écolde de Terre Sainte, l’école Saint- Joseph et la l’école des sœurs du Pilàr. Les thèmes se sont inspirés de la vie des enfants : la maman, les jeux, l’école, la nature, la sécurité routière et la paix, un argument particulièrement sensible ici.
Chaque année, le concours révèle quelques nouveautés: en plus de l’orchestre qui s’enrichit de nouveaux membres et de nouveaux instruments, cette édition a vu, pour la première fois, la participation d’un présentateur officiel, la fameuse journaliste Eman Al Kassem Sulemain.
Pour la troisième année consécutive, le spectacle de la Lampe Magique a été rendu possible grâce au soutien de la Coopération Italienne, par l’intermédiaire de l’organisation non gouvernementale AVSI.
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