Il est certain que "l’Esprit souffle où il veut" (Jn 3,8). Mais c’est une grâce unique de pouvoir fêter la Pentecôte à Jérusalem. Surtout quand on peut la revivre dans les Lieux mêmes où la descente de l’Esprit Saint se réalisa voici 2000 ans.
Cette année encore, le Custode de Terre Sainte, après avoir célébré, le matin la Messe solennelle dans l’église paroissiale de Saint Sauveur à Jérusalem, a présidé les secondes Vêpres dans la "salle supérieure" du Cénacle. À l’extérieur et proche de la Porte de Sion, sur la colline Ouest de la Ville Sainte.
Il y eu cette année une nouveauté. Avant la liturgie des Vêpres, le Custode a fait une entrée solennelle et s’est rendu en procession dans la salle que la tradition a consacré comme lieu de la descente du Saint Esprit. Après l’avoir encensée, il est retourné au centre de la salle principale pour débuter le chant des Vêpres.
Le Custode de Terre Sainte porte encore le titre de Gardien du Saint Mont Sion, parce que le Cénacle a été le premier couvent des frères franciscains en Terre Sainte au XIVº siècle, lieu dont les Turcs les ont expulsés deux siècles après, au XVIº siècle.
Cette liturgie est l’occasion pour les frères de réaffirmer leurs droits sur ce Lieu Saint, berceau de la Custodie de Terre Sainte, berceau aussi de l’Église universelle. C’est évident ; car si s’est au Calvaire que l’Église est née du côté transpercé du Christ, c’est ici au Cénacle qu’elle s’est manifestée au monde dans la force de l’Esprit Saint.
Après avoir été expulsés du Cénacle, les Franciscains ont transporté la liturgie de ce sanctuaire dans l’église de Saint Sauveur ; ce qui explique que c’est dans cette église paroissiale Saint Sauveur qu’a été célébrée la Messe du matin.
Cette messe fut animée par la chorale de Terre Sainte et par le chœur Jasmeen au point de vue musical et par le séminaire franciscain de Saint Sauveur pour le service liturgique.
Comme lors de la Messe, les Vêpres, le soir au Cénacle ont connu une nombreuse participation de religieux et religieuses œuvrant en Terre Sainte, de pèlerins de passages et de Chrétien du pays ; tous représentent l’Église du Christ qui a commencé, justement ici, voici presque 2000 ans, son chemin d’expansion missionnaire dans le monde entier.
AC
Cette année encore, le Custode de Terre Sainte, après avoir célébré, le matin la Messe solennelle dans l’église paroissiale de Saint Sauveur à Jérusalem, a présidé les secondes Vêpres dans la "salle supérieure" du Cénacle. À l’extérieur et proche de la Porte de Sion, sur la colline Ouest de la Ville Sainte.
Il y eu cette année une nouveauté. Avant la liturgie des Vêpres, le Custode a fait une entrée solennelle et s’est rendu en procession dans la salle que la tradition a consacré comme lieu de la descente du Saint Esprit. Après l’avoir encensée, il est retourné au centre de la salle principale pour débuter le chant des Vêpres.
Le Custode de Terre Sainte porte encore le titre de Gardien du Saint Mont Sion, parce que le Cénacle a été le premier couvent des frères franciscains en Terre Sainte au XIVº siècle, lieu dont les Turcs les ont expulsés deux siècles après, au XVIº siècle.
Cette liturgie est l’occasion pour les frères de réaffirmer leurs droits sur ce Lieu Saint, berceau de la Custodie de Terre Sainte, berceau aussi de l’Église universelle. C’est évident ; car si s’est au Calvaire que l’Église est née du côté transpercé du Christ, c’est ici au Cénacle qu’elle s’est manifestée au monde dans la force de l’Esprit Saint.
Après avoir été expulsés du Cénacle, les Franciscains ont transporté la liturgie de ce sanctuaire dans l’église de Saint Sauveur ; ce qui explique que c’est dans cette église paroissiale Saint Sauveur qu’a été célébrée la Messe du matin.
Cette messe fut animée par la chorale de Terre Sainte et par le chœur Jasmeen au point de vue musical et par le séminaire franciscain de Saint Sauveur pour le service liturgique.
Comme lors de la Messe, les Vêpres, le soir au Cénacle ont connu une nombreuse participation de religieux et religieuses œuvrant en Terre Sainte, de pèlerins de passages et de Chrétien du pays ; tous représentent l’Église du Christ qui a commencé, justement ici, voici presque 2000 ans, son chemin d’expansion missionnaire dans le monde entier.
AC