Lors des violents combats dans les rues de Beyrouth comme dans d’autres villes du Liban, j’ai contacté au téléphone les familles de nos frères pour prendre de leurs nouvelles et leur exprimer notre solidarité ainsi que celle du père Custode, Pierbattista Pizzaballa.
J’ai également joint nos frères de Harissa, et nous avons été en contact avec les frères Capucins ainsi que les sœurs Franciscaines. J’ai téléphoné aussi à notre évêque, Monseigneur Boulos Paul Dahdah pour lui donner de nos nouvelles et lui dire que nous allions bien. L’évêque était absent mais le message lui a été transmis. Quelques jours plus tard, c’est l’évêque lui-même qui annonçait sa visite pour le mercredi 21 mai, désireux de partager le repas avec nos frères de Beyrouth, répondant ainsi à l’invitation que nous lui avions faite de longue date.
Notre plaisir était donc double de recevoir cette visite et ce en ces temps difficiles et délicats que traverse le pays. Nous y avons vu un signe de solidarité avec nous qui vivons dans une zone « chaude ». Son Excellence, se montra à son habitude simple et affable, s’intéressant à notre situation et à notre apostolat. Frère Antoine Saliba, de passage parmi nous, se joint au repas.
Nous avons exprimé notre reconnaissance à notre évêque pour sa visite, attentive et chaleureuse, et d’être venu nous manifester son appui et son soutien spirituel durant cette période Il semble maintenant que les chefs des partis politiques libanais se soient mis d’accord pour résoudre les problèmes et trouver une solution durable pour le pays.
Frère Joseph Constantin ofm
J’ai également joint nos frères de Harissa, et nous avons été en contact avec les frères Capucins ainsi que les sœurs Franciscaines. J’ai téléphoné aussi à notre évêque, Monseigneur Boulos Paul Dahdah pour lui donner de nos nouvelles et lui dire que nous allions bien. L’évêque était absent mais le message lui a été transmis. Quelques jours plus tard, c’est l’évêque lui-même qui annonçait sa visite pour le mercredi 21 mai, désireux de partager le repas avec nos frères de Beyrouth, répondant ainsi à l’invitation que nous lui avions faite de longue date.
Notre plaisir était donc double de recevoir cette visite et ce en ces temps difficiles et délicats que traverse le pays. Nous y avons vu un signe de solidarité avec nous qui vivons dans une zone « chaude ». Son Excellence, se montra à son habitude simple et affable, s’intéressant à notre situation et à notre apostolat. Frère Antoine Saliba, de passage parmi nous, se joint au repas.
Nous avons exprimé notre reconnaissance à notre évêque pour sa visite, attentive et chaleureuse, et d’être venu nous manifester son appui et son soutien spirituel durant cette période Il semble maintenant que les chefs des partis politiques libanais se soient mis d’accord pour résoudre les problèmes et trouver une solution durable pour le pays.
Frère Joseph Constantin ofm